Albion: mes tribulations outre-Manche.

Week-end normal dans un joyeux mix franco-anglais. Une table, du vin et une quiche lorraine maison. Mes amis anglais ont toujours un peu de mal avec cette tradition cuisine/quelques verres de vin mais pas trop/parler gastronomie, eux qui sont plus habitués à alcopops/si tu manges, tu triches/ un kebab vers 03.00am.

C. en a profité pour faire sauter les plombs chez moi. Et comme je n’avais pas de fusible de rechange, on a opté pour une ambiance romantique à la bougie. Ca lui accessoirement permis de tenter de foutre le feu à la moquette. Merci C.

Je viens de rencontrer E., une fille qui a été élève dans mon collège à la même époque que moi. Il y a de ça 13 ans. It’s a small world! Une rencontre à inclure avec celle d’un pote perdu de vu depuis 5 ans, retrouvé assis près de mois dans la salle d’attente Eurostar de Waterloo.
Je n’ai pas fait aussi bien qu’une amie sud-africaine qui a retrouvé une copine d’école primaire 18 ans plus tard sur une montagne du nord du Pays de Galles.
Un sacré choc. Et une bonne occasion de comparer les parcours respectifs de gosses qui jouaient à chat perché ensemble.